Une plainte avait été déposée après la découverte d’une dizaine de cadavres d’animaux en novembre 2018.

Suite à son expulsion de domicile, la propriétaire, Présidente de l’association « Paradise Cat’s » qui recueillait les chats depuis 2017, a laissé derrière elle tous ses pensionnaires enfermés.

« Le paradis des chats » s’est alors transformé en véritable enfer. Ils n’avaient aucune chance… seuls, sans nourriture, sans eau.
Prisonniers, certains étaient enfermés dans des cages ; d’autres dans des pièces de la maison.

Les animaux ont tout fait pour s’en sortir.
C’est grâce au voisinage que l’alerte avait été donnée et que certains chats ont pu être sauvés !

Sans parler de l’odeur, c’était une véritable vision d’horreur : des conditions d’hygiène inimaginables, des cadavres en décomposition dans les cages, et des morts-vivants couchés sur le sol… plusieurs griffures de détresse ont été retrouvés sur les portes, et des chatons ont été dévorés par les adultes survivants.

Le jugement a lieu le 5 février au Tribunal de grande instance de Grasse et notre avocat sera sur place.